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Par Aphelio le 13 Septembre 2010 à 04:26
Recueil de poème traitant des réflexions et des amours d'un jeune adulte de 19 ans : De tous temps les poètes ont été guidés par leurs muses. Romaric est l'un deux : un jeune homme sans prétention qui tente de dévoiler son premier recueil aux amateurs de poésie. Ces poèmes sont parfois bons, parfois moins mais vous immiscent toujours dans cet univers dérangeant qu'il sait si bien retranscrire. A découvrir d'urgence !
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Par Aphelio le 19 Juillet 2009 à 00:43
Bonjour à tous,
it's been a very long time ..
Une branche brisée, son ombre sur mon oeil
Tremble gaiement de trepas, aujourd'hui est jour de glas.
Sur sa carcasse ni mouches, ni vers, ni rats ;
Jour de deuil dans un jardin, soleil, près d'Arcueil.
Chantes, cries, hurles ta douleur à ces rameaux,
Espères que le vent emporte de tes mots
Pour le tronc, pour la base et sa sève mutine
Et que ton rêve, ses fleurs, l'abeille butine.Pix from www.francois-brousse.fr
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Par Aphelio le 7 Octobre 2007 à 12:28Enfant tu fais courir la plume dans tes mains.
Un matin tu te lèves et tu vois sur le sol
Quelques pages et mots d'une pensée frivole
Qui se croit un talent pour les vers et quatrains.
Vainement tu t'essaies de nouveau au sonnet ;
Ta feuille restant blanche, tu pleures et gémis image tirée de www.silentbreed.com
Et alors tu commences à rêver d'une vie
Où quelques rimes parsèmeraient tes tercets.
Rêve poète car le rêve est ton talent,
Rêve poète car quand réalité il seraJamais plus dans tes beaux vers tu n'espèreras
Que se réalisent tes fantasmes d'antan.
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Par Aphelio le 28 Août 2007 à 20:42Gambade et oscille sur la cire tiédie
Une petite flamme fragile et timide
Qui réchauffe les cœur, de nature ou d'envie
Et qui souffre de cette bonté intrépide.
Un de ces muscles est le mien, pompe mécanique
Réchauffée de ce feu, des ébats amoureux.
Dans sa grande noblesse est aimable et pudique,
Feu sacré qui fait vivre tous nos cœurs véreux.
Certains le sont de nom, mais bien d'autres d'action ;
Le mien se révèle tempête de faction,
Doux alizés creusant la mer comme les âmes.
Mais il est un foyer qu'on désire ardemment
Et contre nature je serais vaillamment,
Que mon dernier souffle n'éteigne cette flamme
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Par Aphelio le 16 Août 2007 à 12:00
Je survis tant bien que mal entre quatre murs,
Gardiens de ce simulacre de vestibule
Qui couche sur le papier l'envers de ma bulle,
Nourrie, au dehors, de ces quelques quatre mûres.
Et c'est enfermé dans cette cellule noire
Que mon esprit vole aux devant d'une lumière
Qui épanouit mon âme enlacée de fer,
Sarments, sous ce soleil, devenus feux d'espoir.
Je vis à merveille baignée par cette lueur
Qu'il me tarde de rejoindre sans une peur.Et quand ce jour bénit, cette utopie viendra
Je me consumerai gentiment dans ses bras.
Jour spécial que ce jeudi 16 août ... allez donc savoir pourquoi ^^
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