• Avec Mélodie ... se clot mon premier recceuil que j'ai nommé : Aphelio I.
    Pas très original je vous l'accorde ^^ !
    Je me mets dès maintenant à l'écriture du second, qui compte déjà
    deux poèmes : Oublis ... (et) Le long d'un Chemin ...
    N'hesitez pas à poster des commentaires ou à me contacter pour critiquer mes poèmes,
    me conseiller, me demander d'écrire sur des thèmes particuliers, etc.
    Ce sera avec plaisir que j'essaierai de prendre en compte toutes les
    remarques.

    A bientôt !

    P.S : Comme vous commencerez sûrement par lire ce message, je vous conseille
    de lire les posts du plus vieux au plus récent !


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  • Et pour clore le premier recceuil :


    A l'époque de mes doutes les plus profonds,
    Frappa à la porte de mon âme ternie,
    Alors que je survivais de choix moribonds,
    La plus douce et plus elfique des symphonies.
     

     Son créateur l'avait parée d'un nom exquis,
    Un nom qui allait enflammer ma courte vie,
    Un nom à même de donner vie aux croquis,
    Ce nom composé des dieux, cette symphonie.
     

    De Bach et de Mozart elle eut été salie,
    Beethoven même aurait rendu séniles,
    Sons, parfums et saveurs de cette mélodie ;
    J'adorais ce son qui m'aurait rendu fertile.
     

    Conditionnel à la lueur de mon passé :
    Seulement un amour pour cette symphonie,
    En moi, il n'y aura jamais fertilité,
    Un amour de mon âme, sans fin, dans ma vie.

                                                                   

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  • Mais tu juras de te venger,
    Qu'un jour on puisse se retrouver
    Et c'est ainsi que les siècles ont passé
    Et que nous sommes de nouveau réunis pour l'éternité.



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  • Deux anges qui s'aiment sont destinés,
    Non pas à être séparé par l'avidité,
    Mais à vivre ensemble pour l'éternité,
    Et à s'aimer sans retenue dépravée.
    Mais l'église d'un dieu supposé,
    D'un dieu censé être de bonté,
    Décida cet amour interdit
    Et s'enquit de prendre nos vies.
     
    C'est un sombre matin d'Hiver
    Que je fus emmené sur le bûcher.
    Ils voulaient, dirent-ils, me sauver,
    Me donner l'amour de leur Père.
    Je leur répondis enfin 
    Que le seul amour auquel je croyais,
    N'était autre que le tien
    Et non celui d'un être qui se cachait,
    Et qui n'osait assumer
    Que son œuvre était vérolée.
    C'est ainsi que sous tes yeux je fus brûlé
    Sans qu'une dernière fois je n'ai pu t'embrasser.

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  • Il arriva un beau matin d'été,
    Où un cavalier vêtu de noir
    De ton manoir pu s'approcher
    Et posa sur toi son regard.
     

    Un regard de compassion,
    Des yeux remplis de peine,
    Une démarche qui se traîne,
    Tant elle a vue de prisons.
    De prisons du moins spirituelles,
    Qui enfermèrent son esprit,
    Dans un cycle de peines continuelles,
    Dont il ne put jamais faire fis.
     

    Cet homme frappa à la porte,
    La porte de ton manoir médiéval,
    Tu lui ouvris cette blanche porte,
    Non pas celle qui s'ouvre sur un bal,
    Mais celle qui enferme tes peurs,
    Tu lui ouvris la porte de ton cœur.

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