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Aphelio dans
Aphelio le
22 Mars 2007 à 21:41
Tu m'étais bien plus qu'une amie,
Les jours de chaleurs je te pleurais,
Les jours de douceur je t'espérais,
Mais, réellement, tu t'étais enfuie.
Un beau matin de novembre,
Je vis ton joli voile blanchis.
Accourrant au dehors de mon envie,
J'attrapais un présent d'ambre
Pour que jamais plus tu ne t'enfuies. Mais comme à ta vile habitude,
Sous mes lourds pas d'idiot, Tu finis encore une fois par t'enfuir,
Je me plaisait à entendre ce bruit, Me laissant, seule au beau milieu des études,
Tant familier à ton réseau, Cette belle idée que de finir de mourrir.
Réseau brisé par un imbécile Car dix-huit fois t'ayant retrouvée,
Qui ne se souciait que peut de ta venue Je ne peux me résoudre à supporter,
Et qui en rejoignant sa ville Qu'une dix-neuvième fois de malheur,
Avait tout oublié de ta belle vue. Tu m'abstiennes de ton bonheur.
Pourquoi l'être humain cherche à t'éviter, Ô Hiver, saison de gaieté;
Ô Hiver, saison de gaieté, Pourquoi l'être humain cherche à t'éviter,
Toi qui permet à nos sombres vies, Sûrement parce qu'il ne peut supporter,
A ta vue de se voir blanchies. Que tu l'abandonnes chaque année.
ton blog est charment come toi le decor est courtois la lune qui se penche sur un bois est le meilleur endrois de ce monde pleins d'hommes incomprehensibles tes poemes sont super,bonne chance!!!