Par
Aphelio dans
Ecriture libre le
22 Mars 2007 à 21:23
Enfer, paradis de mon cœur ;
Paradis, enfer de mes pleurs ;
Donnez moi, je vous en prie,
Un de ces doux baisers maudits.
Mort, ange de ma vie,
Vie ange maudit de mes envies,
Prenez moi, je vous en supplie,
Ce doux malheur qui me suit.
Comprenez que cette existence,
N'a aucun intérêt que pour peu,
Pour ces frêles êtres qui pensent,
Qui songent à faire leurs adieux.
Mais qui sont retenus à la vie,
Par de lumineux êtres immondes, Eux ont compris cette réalité,
Qui leur soumettent leurs envies, Celle qui un jour nous fait tout arrêter,
Désirs partagés par un monde, Celle qui nous fait perdre notre premier don,
Globe qui depuis toujours aurait du, Que nos parents ont toujours jugé bon.
Cette réalité ne pas perdre de vue. Mais ils ne nous avaient pas dis
Car à travers nos courtes ères, Que ce présent était maudit.
Une seule vérité resta en arrière,
Cette seule avance qu'on nos ancêtres Ô Mort merci d'exister,
Qui ont su quitter leurs faibles êtres, Toi seule qui peut nous le dérober.