• Orages ...

    Certains y trouveront à raison une inspiration baudelairienne au 9e vers.


     Lorsque les cieux d'un commun accord se déchirent,
    Que les bourrasques arrachent leurs bras aux arbres,
    Que les feuilles sentent leur pelage roussir,
    Que devant ce mal Venus reste de marbre, 

    Lorsque le feu céleste s'abat sur Gaia
    Comme pour la punir d'une ancienne traîtrise,
    Qu'Eole amasse les nuages sous son bras
    Comme pour être sûr d'en garder la maîtrise, 

    Je pense à toi Ô douce et jolie ténébreuse
    Car tu illumines ma volonté peureuse,
    Me donnant souvenir des doux sens de la vie. 

    Et c'est ainsi que je n'entend plus Zeus gronder
    Car les ondées se dispersent comme envolées
    Au doux et limpide son de ta mélodie.

                                                                               


  • Commentaires

    1
    Jeudi 12 Avril 2007 à 23:26
    .
    j'aime bien celui-ci. ça doit faire quelques jours que je survole, mais là j'ai le temps, et je m'attarde. disons que j'essaye de lire du début pour avoir un avis global et pour "ne pas hésiter à critiquer" même si mes critiques sont débiles :)
    2
    Aphelio Profil de Aphelio
    Vendredi 13 Avril 2007 à 00:00
    ...
    Pour la petite histoire : je l'ai écrit barricadé dans ma chambre à cause d'un orage à 23h ^^ je crois bien que ça a été une des plus grandes peurs de ma vie !
    3
    kim
    Mardi 11 Mars 2008 à 23:33
    commentaire
    C'est vraiment très beau!!!continue tu as vraiment bcp de talent^^ je t'envie bcp.... :)c'est vraiment magnifique
    4
    Mercredi 12 Mars 2008 à 17:53
    ...
    Mirci pour ton commentaire et ton passage par ici. Bone jourée, bise.
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :