• Voici donc le deuxième "épisode" :


    Eole soufflait dans mon être,
    Arrachant les rameaux de l'hêtre,
    Chassant les ondées perverses,
    Il tenait le soleil en laisse.

    Quel bonheur assiste un tel temps ?
    Quelle joie de suer autant ?
    Le chaud n'est bon que quand il glace,
    Figeant de froid le temps qui passe.



    Ainsi chaleur était de mise,
    Lorsque je t'aperçu assise.
    De tes yeux noirs tu me figea.

    Une frêl' pellicule blanche
    Recouvrit notre amour étanche :
    Nous ne nous soucions du glas.


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  • Je préfère de loin la deuxième version, mais celle-ci propose une opposition
    de style interessante.

    Eole soufflait dans mon être,
    Neptune agitait les marées,
    Hephaistos enflammait l'hêtre,
    Athéna montrait ses armées. 

    Venus envoya Cupidon.
    De son arc tirant la flèche,
    Cel'-ci atteignit mon plastron,
    Me faisant lâcher la bêche. 

    Mes pensées fuyant à l'abeille,
    La femme que je vis la veille
    S'empara de mon faible cœur. 

    Je m'approchai de sa personne,
    L'abordai comme Jefferson,
    Et l'enlaçait avec douceur.


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  • Voici le premier poème que j'ai composé, il est très immature, les vers ont l'air
    d'avoir été scotchés entre eux, mais bon, il n'en reste pas moins un poème !


    Au plus profond de tes yeux noirs,
    Illuminant comme Hélios
    L'Humanité,non son sombre os,
    Je me perds, cependant sans choir.

    Ta peau blanche collée à moi,
    Blanche comme la tourterelle,
    Raffinée comme la dentelle,
    Voile les peines de mes choix.

    Ton cœur frêl' battant dans mes bras,
    Je ne trouve que le bonheur.
    Je ne fuirai comme un voleur.

    Tu m'es bien plus chère que sœur,
    Te rencontrer ne m'est que peur
    Qui s'efface au creux de tes bras.


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