• Je vous aime plus que cette mort
    Et ne souhaite vous causer le supplice,
    Celui de déposer quelques pétales de lys,
    Sur la tombe, noircie de pleurs, d'un mort,
    Mais il est dur d'y résister,
    Quand on sait que toute douleur sera effacée.


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  • Laissez moi quitter ce monde d'hypocrisie,
    Laissez moi vivre la mort de ma vie,
    Laissez moi m'en allez là ou je n'aurais d'ennemis,
    Laissez moi mettre fin à cette absurdité d'envie.
     
    Je ne souhaite vous abandonner,
    Seulement m'éloigner, comprenez.
    Ce monde n'a d'intérêt que pour vous,
    A mes yeux cette terre n'est faite que de fous.                       
    N'essayez pas de me retenir,
    Ce ne serait que retarder cette douce échéance,
    Non pas une mort sanguinaire, mais celle de la dernière chance,
    Celle qui nous permet de ne pas s'enfuir,
    Mais de s'évader dans de douces pensées,
    Et de mener, et non vivre, une expérience souhaitée.                                                                                            
                                                                                            
    Je vous en prie mon ange du désespoir,                             

    Ne tentez pas de me redonner l'espoir,                              

    Qu'un jour ce fluide de malheur sera bonheur                   

    Et qu'il nous sera permis de vivre sans peurs. 

                     

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  • Ô mon ange du désespoir,
    Si longtemps que je n'ai pu te voir,
    Depuis le jour où silencieusement,
    Tu m'a soufflé que tu m'aimais tant.
    Depuis ce jour béni des dieux,
    Où j'avais pu sur toi poser mes yeux,
    Cet unique jour de ma vie
    Où je n'eu honte de mes envies,
    Auprès de toi je voulais rester,
    A tes cotés pour l'éternité.
                               Ô mon ange du desespoir,
                                                                       Toi qui de tes douces pensées,
    Vénus n'étant pas de cet avis,                       Dans mon coeur fait pleuvoir,
    Je me vis enlever ta compagnie.                     Non des larmes de tristesse volée
    Durant quatre ans je devais pleurer,              Mais des pleurs de bonheur.
    Espérant qu'un jour tu me reviennes.             Car à chaque parole que tu prononces,
    Je craignais que tu m'apprenne,                    Une larme ravive mon coeur,
    Qu'en enfer ton amour était comblé.              Qui côtoya la mort à une annonce.
    Mais dans sa colère Venus avait omis,            Cette annonce qu'une diablesse angélique
    Que deux êtres liés pour la vie,                     Un jour de juillet m'avait dit sans risque.
    Ne peuvent penser s'oublier                           Que pouvait-elle d'ailleurs risquer
    Bien qu'ils soit séparé pour une éternité.        Après qu'elle m'eut de ces mots tué ?

                                                      

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  • Enfer, paradis de mon cœur ;
    Paradis, enfer de mes pleurs ;
    Donnez moi, je vous en prie,
    Un de ces doux baisers maudits.
     

    Mort, ange de ma vie,
    Vie ange maudit de mes envies,
    Prenez moi, je vous en supplie,
    Ce doux malheur qui me suit.
     

    Comprenez que cette existence,
    N'a aucun intérêt que pour peu,
    Pour ces frêles êtres qui pensent,
    Qui songent à faire leurs adieux.                      
    Mais qui sont retenus à la vie,
    Par de lumineux êtres immondes,                         Eux ont compris cette réalité,
    Qui leur soumettent leurs envies,                        Celle qui un jour nous fait tout arrêter,
    Désirs partagés par un monde,                            Celle qui nous fait perdre notre premier don,
    Globe qui depuis toujours aurait du,                    Que nos parents ont toujours jugé bon.
    Cette réalité ne pas perdre de vue.                      Mais ils ne nous avaient pas dis
    Car à travers nos courtes ères,                            Que ce présent était maudit.
    Une seule vérité resta en arrière,

    Cette seule avance qu'on nos ancêtres                 Ô Mort merci d'exister,
    Qui ont su quitter leurs faibles êtres,                  Toi seule qui peut nous le dérober.
                                                        
                                                    

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  • Ne cherchez pas de constance dans le pied : il n'est pas fixé.
    J'ai composé ce poème en écriture libre.


    Ce matin, deux bols de café y sont passés,
    Drogue nécessaire afin de rester éveillé,
    Ce matin, trois tartines ont été mangées,
    Jus indispensable pour la prochaine suée.
     

    Ce matin, les étoiles brillaient à tes cotés,
    A la lune, j'admirais tes flancs escarpés,
    A tes pieds abrupts je restais émerveillé,
    M'approcher de toi me rendait tout essoufflé.
     

    Par la faute d'une de tes cousines éloignées,
    Je ne pu poursuivre ma chevauchée,
    Sur tes pentes, j'étais bien trop fatigué.
     

    C'est ainsi que je retournais au Pigeonnier,
    Derrière moi tes séracs fracassés,
    A cette pensée je me mis à pleurer.

         

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